Amis

L’année prochaine, il y aura 10 ans que j’ai « relancé » en ligne la revue Texture (qui avait fait paraitre 35 numéros imprimés de 1979 à 1989) – et cela sous la forme d’un site accessible à tous, gratuitement, où l’on peut lire aujourd’hui des articles, notes de lectures, portraits, interviews et infos diverses, soit au total plus de 2500 entrées et près de 250 dossiers « auteurs ». Une douzaine de critiques (bénévoles) y collaborent régulièrement, et quelques autres occasionnellement.

J’ai toujours tenu à ce que le site et les envois des « Poèmes du mois » ou de la lettre d’info trimestrielle soient gratuits - ils le resteront bien sûr – et c’est donc sur mes deniers que j’ai financé le site, les interventions d’informaticiens, les coûts des achats divers (matériels) et d’envois postaux. Or le prix de l’hébergement a doublé l’an dernier, les factures informatiques augmentent, quant aux tarifs postaux, ils explosent !

Dans ces conditions et alors que je n’avais jusqu’alors rien demandé à personne, je me suis résolu à déposer une demande d’aide auprès de la DRAC.  Mais le dossier doit comprendre un budget prévisionnel où les dépenses sont équilibrées par des recettes. Or de recettes, il n’y en a point, puisque Texture est un service gratuit !

Me voilà donc contraint de lancer un appel aux dons auprès des lecteurs de la revue en ligne ! Je n’ai guère plaisir à accomplir cette démarche, mais sans trésorerie, pas de subventions possibles ! (je comprends bien sûr qu’une association sans fonds propres ne puisse être crédible aux yeux de l’administration…) En tout état de cause, une éventuelle subvention ne pourra être plus élevée que les recettes propres de l’association…

Amis, je vous lance donc un appel : si vous appréciez Texture et souhaitez qu’elle poursuive son chemin, vous pouvez l’aider en envoyant un chèque (minimum, 10 euros, maximum, à votre bon cœur !) à l’ordre de :

Association littéraire Texture. 

CCP : 03 859 98 E  Toulouse

6, impasse de la Garonnette. 31840 SEILH

Par avance, je vous remercie. Bien amicalement à vous

Michel Baglin