Les métiers du journalisme
L’Étudiant, 2009, 220 pages (8e édition).


 
Que recouvre vraiment le métier de journaliste ?

Le mythe du grand reporter baroudeur, toujours entre deux avions, fait encore rêver, talonné de près par le présentateur de télévision tutoyant les grands de ce monde. Pourtant ces archétypes sont loin d’être représentatifs d’une profession caractérisée par une grande hétérogénéité de parcours, de métiers et de modes d’exercices.
Du rédacteur en chef au journaliste reporter d’images, en passant par le pigiste, Alexandrine Civard-Racinais livre les clés d’accès à cet univers multi-facettes.



Conseils, adresses, témoignages de professionnels, nouvelles tendances, évolution du métier et du marché, présentation des filières menant au journalisme et des écoles reconnues par la profession…

La déontologie des journalistes
Ellipses, 2003, 111 pages.
 
 
Les journalistes n'ont pas bonne presse.

Panurgisme des médias, conformisme des journalistes, approximations, superficialité, acharnement médiatique… Les critiques fusent de toutes parts, fustigeant certaines pratiques, dénonçant un certain nombre de dérives… Jamais le fossé n’aura été aussi grand entre les journalistes et leurs publics. Et pourtant jamais période n’aura été autant propice à une remise à plat des pratiques journalistiques. Le moment était donc venu de confronter grands discours et petites avancées, principes claironnés et pratiques réelles.

Sociétés de rédacteurs, médiateurs, codes de déontologie, revues critiques… L’auteur recense les principaux outils disponibles (ou à inventer) pour améliorer les pratiques journalistiques.

Le journaliste, l’avocat et le juge
L’Harmattan, 2003, 337 pages.
 
 
Les relations entre la presse et la justice sont parfois sulfureuses.

Depuis quelques années, journalistes spécialisés dans le domaine judiciaire, avocats de la défense et magistrats instructeurs ont noué une étrange alliance. Le journaliste mène parfois une véritable instruction parallèle. De leur côté, les magistrats instructeurs n'hésitent plus à s'allier la presse et les avocats réservent de plus en plus souvent aux médias la primeur de leurs plaidoiries. La production de l'information judiciaire apparaît alors comme l'enjeu d'une lutte de pouvoir qui oppose les journalistes et leurs sources d'information.

Pour mener à bien sa thèse de doctorat, dont cet ouvrage rend compte, de nombreux entretiens ont été nécessaires. Gilbert Collard, Paul Lombard, Henri-René Garaud, Jacques Vergès, Henri Leclerc, Daniel Soulez-Larivière, Jean-Yves Lienard, Georges Kiejman, Arno Klarsfeld, Renaud Van Ruymbeke, Georges Fenech, Éric Halphen, Laurent Davenas, Éric de Montgolfier, Thierry Jean-Pierre, Antoine Garapon, Jean-Louis Brugière, Jean-Michel Lambert et Philippe Bilger… ont accepté de se livrer.

La plume et la balance
Kimé, 1995, 118 pages.

Préface de Daniel Soulez-Larivière
 
 
Les plaidoiries à « l’ancienne », juris-classeur sous le bras et effets de manches à huis clos appartiennent au passé.
Aujourd’hui, tout procès d’importance se joue non seulement à l’intérieur des prétoires mais aussi à l’extérieur, à travers les médias qui « rendent » une justice immédiate et sans appel. Les avocats ont d’ailleurs une tendance de plus en plus marquée à utiliser la presse comme « caisse de résonnance » de leur défense, développant à son endroit de véritables stratégies. Les affaires Villemin, Roman ou encore celle du « jardinier marocain » Omar Raddad sont, à cet égard, révélatrices.

Pour mener à bien cet ouvrage, de nombreux entretiens approfondis ont été nécessaires. Maîtres Gilbert Collard, Paul Lombard, Henri-René, Garaud, Jacques Vergès, Henri Leclerc, Daniel Soulez-Larivière, Jean-Yves Lienard, Georges Kiejman… se sont prêtés au jeu.