La cruauté du monde de l’art s’immisce dans tous les chapitres de « NOIR D’IVOIRE ». L’intrigue de ce thriller repose sur la mise exceptionnelle au feu des enchères d’une peinture emblématique de la Renaissance intitulée « Madeleine en extase ». Cette merveille est attribuée au CARAVAGE. Le mirobolant prix de réserve, à un milliard d’Euros, enflamme la convoitise des plus grands collectionneurs mondiaux.  
Le corps d’un jeune restaurateur de tableaux passionné par les chefs-d’œuvre réalisés entre 1590 et 1610, capable d’authentifier ceux du CARAVAGE, gît décapité à Ajaccio, bras en croix, sur le pont arrière d’un bateau en partance pour Marseille …
L’écriture de ce livre a suscité en moi le désir d’en savoir davantage sur cette toile de lin de 106,5 x 91 cm, réalisée en 1606, et dont-on fit un grand nombre de copies. Le plus stupéfiant de cette histoire c’est que la scoumoune va s’abattre systématiquement sur toute personne susceptible d’en dire plus long sur le tableau d’origine exécuté par la main du maître.